Akuma's Yaoi Stories

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Samedi 12 janvier 6 12 /01 /Jan 23:49

Dans la peau d'un garçon - 1

Bonsoir tout le monde ! Oui, je sais ce que vous vous dites, encore une nouvelle fic O.O Mais, je tiens quand même à préciser, elle ne sera pas très longue, 3-4 chapitres tout au plus =) Et puis, cette fic n'est pas exactement comme les autres, c'est la premiere fois qu'un de mes personnages principal est "à la base" une fille. Donc, je ne sais pas si on peut considerer cette fic comme 100% Yaoi, mais bon ... En esperant que ça vous plaise, kiiiisu <3

CHAPITRE 1

- Vous allez compter a rebours en partant de 10.

- 10 … 9 … 8 … 7 … 6 …

Je m’appelle Andrea Parker, j’ai 19 ans et je ne suis pas une personne banale. On peut dire que j’ai un ego surdimensionné et j’ai plutôt tendance à prendre les gens pour des imbéciles. Si je suis aujourd’hui allongée là, sur la table d’opération, c’est que récemment, il s’est passé des choses pas communes. En effet, aujourd’hui mon rêve devient réalité, je vais devenir un garçon. Bon, il faut aussi expliquer le pourquoi du comment :

C’était il y a une semaine, je me réveillais en sursaut dans mon lit, une horrible douleur à la poitrine. Je tapais sur mon amant, endormi dans le lit, pour le réveiller.

Un quart d’heure plus tard, j’étais dans le service des urgences, tordue en deux sur un siège. Un médecin est alors venu, m’a emmenée et auscultée.

- Mademoiselle, il semblerait que vous … avez développé une maladie, une sorte de … C’est difficile à expliquer, je n’ai jamais rien vu de pareil !

- Pardon ?

- Il s’agirait d’une forme évoluée de cancer, ou autre chose … Je vais devoir vous opérer.

- Quoi ?

- On pourra ensuite faire des recherches pour découvrir …

- Donc, vous voulez vous faire de l’argent en me retirant les nichons ?

- Cela pourrait être grave, et …

- Très bien, pourquoi j’accepterais ?

- Je …

Le médecin m’avait regardé, et avait réfléchi quelques instants pour finalement me dire :

- Je vous offre ce que vous voulez, je parle en terme d’opération. Une lipoaspiration, collagène …

- Faites moi devenir un homme, un homme parfait, un homme beau, un dieu.

Voila ma dernière phrase, ce pauvre était indécis et moi je me demandais se qu’il m’avait prit de dire une chose pareille.

C’est vrai, j’ai toujours voulu être un homme. Quand j’étais petite, je jouais les garçons manqués, je faisais pleurer les autres filles. Elles étaient pour moi tellement cruche, avec leurs stupides Barbies. La personne que j’admire, c’est mon frère, Gale. Il est, pour moi, l’idéal parfait. Je sais qu’au fond j’ai toujours voulu lui ressembler.

Une autre histoire, ma famille. Il est clair qu’après, si je devenais un homme, jamais je ne leur reparlerais. Je veux commencer une nouvelle vie, être l’homme que j’ai toujours été au fond de moi. Je me fait rire, je sais que je parais débile, mais je m’en fou. Après tout, je sais que je l’ai toujours voulu. Et il y a aussi Shayne, mon petit ami. Je crois que notre histoire est la plus belle chose qu’il m’a été donné de vivre. Shayne est rédacteur en chef dans un magazine de mode. Il est d’ailleurs assez réputé dans ce métier. Bref, c’était inévitable, pour vivre ma vie d’homme, j’allais devoir le perdre. Cela me rendais malade, mais il le fallait, non ? Comme on dit, il faut parfois faire des sacrifices, je ne sais pas si celui là est à ma portée.

Je vais disparaître de sa vie, de leur vie a tous. Ils garderons de moi ce souvenir de trahison, d’abandon mais peut importe.

- Vous êtes en salle de réveil, l’opération s’est bien passée …

C’est cette douce voix qui me sortie plus ou moins de mes rêves. J’avais mal partout, à chaque endroit, je souffrais. Allongé dans mon lit, je sentais des bandages enserrer mes bras, mes jambes, mon torse, mon visage. J’essayais d’ouvrir les yeux, impossible. Ce chirurgien a donc pensé bon de me refaire les yeux ?

Je ne sais combien de temps je suis resté là, je suis surprit quand l’infirmière m’apprend que cela ne fait que 3 semaines.

Le chirurgien entre dans la pièce, j’entends la porte s’ouvrit puis se refermer.

- Alors, Andrea comment allez vous ?

Je murmurais un faible « bien », puis sentit le médecin s’approcher.

- J’ai une bonne nouvelle pour toi, aujourd’hui on te retire certains bandages.

- … cool …

Deux coups de ciseaux plus tard, me voila libéré de partout, sauf de l’entrejambe. Je regardais mon corps dans la glace, il ressemble à celui d’un homme. Malgré les hématomes, mon torse est magnifiquement sculpté, et mon visage ! J’ai l’impression d’avoir fait un combat de boxe mais je me trouve belle. Beau, pardon. Par contre, mon corps me faisait toujours un mal de chien.

- Bon, je pense que demain, vous pourrez rentrer chez vous. Vous reviendrez me voir dans 2 semaines pour défaire le dernier bandage.

- Ok.

- Quelqu’un peu venir vous chercher ?

- Non.

Le lendemain, comme prévu, je me retrouvais dans un taxi en route pour chez moi, c’est-à-dire, l’hôtel. Dans ma vie d’avant, je vivais avec Shayne. Son souvenir me serra le cœur. Le taxi se stationna devant l’entrée, je descendis puis tendit un billet au chauffeur suivit d’un « gardez la monnaie ». J’entrais dans l’hôtel. Il était assez luxueux, sans être non plus un palace. Je m’avançais vers le comptoir puis retira la clef de la chambre 217. Dans l’ascenseur, je montais avec une femme. Une très belle femme qui ne cessait de me dévisager. Elle cru bon de faire la conversation :

- Mon Dieu, que vous est-il arrivé ?

- Oh, rien du tout. J’ai juste changé de sexe.

Elle me regardait d’un air suspicieux et se sentit presque obligée de rajouter :

- Je m’appelle Elizabeth.

- Andrea.

Dieu merci, j’avais hérité d’un nom mixte. Côté sexualité, ça ne changeait pas vraiment, j’étais bisexuel mais quand même bien plus attiré par les hommes. Elizabeth continuait à jacasser comme une pie, je ne l’écoutais même plus. Voila pourquoi j’ai toujours pensé être un garçon : je ne supportais pas les femmes. Enfin, dans mon lit, ça me suffisait. L’ascenseur s’arrêtait enfin au 3eme étage. Je sortis sans même dire au revoir à la fille, en oubliant par la même occasion son prénom. J’entrais dans la chambre, elle était dans les tons marron, vert et turquoise. Très jolie.

Je m’étalais sur le lit, posant mon bagage par terre, j’en profitais pour finalement m’assoupir. Je me réveillais vers 22 heures, j’improvisais une sortie. Je n’avais malheureusement pas eu le temps de renouveler ma garde robe, quelques semaines plus tôt, j’avais « emprunté » une ou deux chemises et quelques pantalons et sous-vêtements à Shayne. Je sortais donc vêtu d’un jean bleu, d’une chemise noire ouverte mais pas trop pour ne pas faire voir mes hématomes et autres pansements, et de converses noires également. Sur le tout, j’avais revêtu ma veste en cuir noire. A peine sorti, je savais déjà où j’allais : une boite de nuit gay. Le club s’appelait « MADE », je n’y étais jamais allé, étant encore une femme, mais on m’en avait tant venté les mérites que je ne pus m’empêcher de m’y rendre. Je pris un taxi qui me conduit sur une avenue, je sortais en payant. A l’arrivée, une queue monstre faisait déjà face à l’entrée, j’allais déjà me mettre à la fin de celle-ci quand un vigile s’approcha de moi et me tira vers l’entrée. Il me dit :

- Les beaux mecs passent les premiers !

Je lui lançait un charment sourire, puis entrai sous les cris mécontents de ceux qui faisait encore la queue. Je m’avançais vers le bar, me commandai une coupe de champagne puis traversai périeusement la piste de danse, puis m’affalais finalement sur la banquette d’un canapé. Je sirotais mon champagne quand un homme s’assit à mes côtés. Il était très –très- beau, dans les 1m90, fin, la peau très pale et les cheveux cuivrés.

- Bonsoir … Murmura t-il, sa voix était douce, très sensuelle.

- Bonsoir.

- Je voulais vous demander …

- Oui ?

- Êtes vous mannequin ?

Franchement, j’ai connu mieux comme technique de drague …

- Non, pourquoi ?

- Je suis directeur d’agence, je vous veux …

Alors là, je tombais des nues. Soit 1) C’était le plan le plus foireux de ma vie, soit 2) Ce mec raconte le même baratin à tous les mecs qu’il veut mettre dans son lit.

- Je ne veux pas coucher avec vous. Lui répondis-je. Car, il ne fallait pas oublier que malgré tout, j’étais toujours folle, fou amoureux de Shayne, et que pour moi, cela reviendrait à le tromper.

Il ria franchement.

- Moi non plus, rassurez vous, je suis hétéro. Je viens ici chercher de nouvelles recrues.

Il me tendit une carte.

- Tenez, appelez moi quand vous voudrez …

- D’accord, merci.

Il me planta alors, je décidais de rentrer. J’avais, visiblement, jugé mon corps assez remit pour cette sortie, je m’étais trompé.

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Dimanche 6 janvier 7 06 /01 /Jan 01:58

.......

Bonsoir tout le monde !

Bon, je dois dire, ce message est un mot d'excuse ... Cela fait bien longtemps que je n'ai pondu un chapitre O.O

Mais ! J'ai une panne d'inspi ! Je pense faire un OS pour me changer de mes personnages déjà existants mais pour l'instant j'en suis inccapable.

Bref, sinon j'espere que vous avez passé un bon noël et un bon nouvel an !
(Moi, j'ai tenu compagnie a une bouteille de chamagne XDD)

Bref, à très bientot j'espere,

Kisu, Akuma

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Dimanche 23 décembre 7 23 /12 /Déc 23:55

Baby Sitter - 8

CHAPITRE 8

Il était maintenant une heure vingt du matin, nos deux amants attendaient dans la salle d’attente de l’hôpital. Un docteur arriva, Jukka se leva d’un bond.

- Bonsoir, vous êtes le père de l’enfant ?

- Oui.

- Oh, je suis dans le regret de vous annoncer que Kale est atteint d’une leucémie.

- Co…Comment ?

Jukka était devenu très pale, il tenait à peine debout. Le médecin l’obligea à s’asseoir, puis continua son récit :

- Il s’agit d’une leucémie aiguë lymphoïde. C’est le type le plus courant chez l’enfant, une prolifération trop rapide de cellules immatures dans le sang, donc inefficaces. Nous allons devoir opérer une chimiothérapie, le but étant de détruire les cellules anormales. Après, nous lui ferons une transfusion et, en cas de rechute une greffe de molle osseuse.

- Mon dieu …

- Je suis désolé, mais je tiens à vous dire que pour les cancers de cet ordre, il y a 80% de chance de survie chez l’enfant.

- …

- Je vais vous laisser …

Le docteur les quitta alors, Aidan s’approcha de Jukka, qui restait abasourdit par le choc. Aidan prit alors son amant dans les bras, des larmes silencieuses coulèrent sur les joues de celui-ci.

- Aidan …

- Chut, ça va aller … Kale est fort il va s’en sortir …

Jukka renifla, Aidan le serra plus contre lui, puis l’embrassa sur la tête. C’est à ce moment que Faith choisit d’arriver. Elle vit son mari en pleurs, Aidan le lâcha. Jukka se leva alors, prit Faith dans ses bras, puis murmura de choses à son oreille, Aidan la vit alors fondre en larmes, Jukka la serrant fortement.

Aidan, malgré qu’il soit très inquiet pour Kale, ne put s’empêcher d’être jaloux, les voyant ainsi enlacés. Il s’approcha ensuite d’eux et allait prendre la parole lorsqu’il vit Faith embrasser son mari, puis lui murmurer quelque chose. Il entendit ensuite Jukka répondre : « Je t’aime ». Aidan se mit à trembler, comment pouvait-il dire ça ? Enfin, il savait qu’il l’aimait mais …

Jukka se détacha alors de Faith, lui disant d’aller voir leur fils. Alors que Faith partait, Jukka s’approcha d’Aidan, qui tremblait toujours.

- Aidan, il faut que …

- Oui ?

- Je crois qu’il est préférable qu’on ne se voie plus pour le moment.

Aidan tressailli, puis décida de faire l’insensible :

- Je crois aussi … De toute façon ça ne nous mènerait à rien et puis avec Kale …

- Ne m’en veut pas …

- Je ne t’en veux pas …

Mensonge …

- Tu es sur ?

- Oui.

Mensonge …

- Tu sais, si il ne s’était pas passé ça, je crois qu’on aurait était bien ensemble …

- Moi, je savais à l’évidence que ça ne marcherait pas …

Mensonge …

- Oh, tu voulais me quitter ?

- Je ne voulais pas être un couple adultère gay.

Mensonge …

- Je vais y aller, Jukka. Dis au revoir à Faith, et appelle moi pour me donner des nouvelles …

- Très bien.

Aidan partit. Il se retrouvait devant l’hôpital, seul, l’air misérable. Il avait bien sur le visage inondé de larmes, il aimait Jukka à en crever. Il donna un coup de pied dans une canette qui traînait, puis s’écroula au sol, pleurant encore et encore.

A présent, il s’en foutait de se ridiculiser, il s’en foutait de tout, des passants qui le regardaient pleurer à n’en plus pouvoir du moment que Jukka ne le voyait pas …

Enfin, c’est se qu’il croyait, car, quatre étages plus haut, Jukka le regardait par la fenêtre, un air coupable au visage …

Un mois était passé, Aidan ne vivait plus. Il se levait le matin, allait en cours toute la journée mais le cœur n’y était pas. Devan tentait de savoir ce qu’il n’allait pas, mais à chaque fois Aidan l’ignorait. Un soir, alors qu’Aidan était dans sa chambre, à admirer le plafond, sa mère passa la tête par la porte.

- Aidan ? Je peux te parler ?

- Oui.

Jazmin entra, puis s’assit sur le lit de son fils.

- Jukka a téléphoné …

- Ah. Aidan avait le cœur serré. Comment va Kale ?

- Mieux, la chimio se passe bien.

- Cool.

- Aidan, que se passe-t-il ?

- Mais rien, maman …

- C’est à cause de lui ?

- De qui ?

- Ne te fais pas plus bête que tu n’es.

- Jukka n’a rien à voir …

Aidan fondit alors en larmes, sa mère le prit dans les bras.

- Chut, mon bébé, ça va …

- Maman, si tu savais comme le l’aime.

- Je le sais …

- Tout allait si bien avant …

- Tu lui as dit ? Ce que tu ressens ?

- Oui.

- Et il t’a rejeté ?

- Non, il m’a proposé qu’on … sorte ensemble. Puis … plus rien.

Jazmin n’en revenait pas, pour elle, Jukka était tout ce qu’il y avait de plus hétéro, jamais elle n’aurait pensé qu’il pourrait avoir une quelconque relation avec son fils.

- Tu as couché avec lui ?

- Non … On allait le faire quand … Kale a …

- Et ?

- A l’hôpital, Jukka m’a dit qu’il faudrait mieux qu’on … ne se voie plus.

- Ecoute, il était inquiet pour son fils … Laisse lui le temps, surtout que Kale va mieux. Tu devrais aller le voir, Jukka m’a dit qu’il t’avait réclamé.

- Je ne pourrais pas voir Jukka …

- Fait ça au moins pour Kale … Il t’aime lui, tu sais.

Jazmin quitta la chambre de son fils, Aidan réfléchit à ses paroles. Oui, il était injuste pour ce pauvre Kale qui n’avait rien demandé à personne de le priver de ça … Mais Aidan ne se savait pas capable de revoir Jukka. Son amour pour lui grandissait de jour en jour, il avait terriblement mal de l’avoir perdu. Il s’endormit alors sur ces pensées, demain, nous étions dimanche, Aidan rendrait visite au petit.

Le lendemain, 8 heures, Aidan était à l’hôpital. Il avait choisi de venir tôt, pour ne pas croiser Jukka. Alors qu’il entrait dans la chambre de Kale, il vit le petit endormi dans son lit, le visage cadavérique. Il prit une chaise, puis se place à côté du lit. Pendant plus d’une demie heure, il regarda Kale, les larmes aux yeux. Jamais il n’avait souhaité que cela n’arrive, et pas seulement car il avait perdu Jukka. Voir son petit protégé allongé là le rendait malade. Il aurait même put renoncer à son amour pour Jukka pour revoir encore le visage émerveillé de Kale quand il lui racontait une histoire, quand ils jouaient ensemble.

- Aidan …

Aidan se retourna et vit Jukka près de la porte. Il ne l’avait même pas entendu entrer.

- Bonjour Jukka

- Tu es venu …

- Oui, comme tu le vois, il va mieux ?

- La chimio se passe bien pour l’instant.

Aidan souria faiblement.

- Je vais y aller …

Alors qu’il se dirigeait vers la porte, Jukka se mit entre lui et celle-ci, puis tenta d’approcher son visage de celui du jeune. Il allait l’embrasser, mais Aidan détourna la tête.

Jukka se recula, puis baissa la tête.

- Je comprends … Murmura t-il.

- Au revoir, Jukka.

Aidan sortit de la chambre, il ne ressentait rien. Il avait enfin comprit que Kale avait besoin, maintenant mais aussi tout le temps, d’un père et d’une mère unis et qui s’aiment, et non pas d’un père qui trompe sa femme avec un ado comme lui.

Malgré ses sentiments, Aidan savait qu’il n’avait jamais eu de place dans la vie de Jukka, et qu’il n’en aurait jamais.

Il sortit alors de l’hôpital, le sourire aux lèvres, direction chez Devan.

Il sonna à la porte avec anxiété, Devan vint lui ouvrir.

- Aidan ?

- Salut, je peux entrer ?

- Heu … Oui.

Aidan entra alors dans le studio de Devan. Celui-ci avait déménagé, ne supportant plus cette situation, ses parents avaient préféré lui payer son propre appartement.

- Devan, je suis désolé.

- …

- Je t’ai laissé, parce que j’allais mal, je m’en veux.

- Aidan …

- Jukka et moi … On a rompu. C’est beaucoup mieux comme ça, et cette fois je le pense.

- Aidan …

- Je suis aussi désolé, parce que je t’ai laissé de côté à cause de ça, je ne veux pas te perdre, tu es mon meilleur ami, la personne à laquelle je tiens le plus …

- Aidan …

Devan s’avança vers Aidan, le prit par la taille, puis murmura à son oreille.

- Aidan, je suis amoureux de toi …

Ouais, je sais vous me detestez de m'arrêter là >_< Enfin, ... Faut quand même garder un peu de suspence, na ?
Bref, quoi qu'il en soit ...

Joyeux Noël à toutes et à tous !

Merci à tous ceux qui lisent mes fics et qui passent des bons moments à ça et puis ... Vous saoulez pas trop demain soir =D

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